Trains de nuit dans le Massif central : les usagers et les élus demandent au gouvernement d’aller plus loin

, par La rédaction

Dans un communiqué de presse diffusé ce jour le collectif Oui au Train de Nuit Cévennes Auvergne réaffirme sa demande d’un train de nuit Paris Clermont Ferrand puis tri-branche vers Aurillac Béziers et Nîmes pour une couverture complète de tout le massif central. En voici le texte :
 


COMMUNIQUE DE PRESSE
 
21 février 2022
 
LA DESSERTE DU MASSIF CENTRAL EN TRAIN DE NUIT PROPOSEE PAR LE GOUVERNEMENT EST A COMPLETER PAR UN NOUVEAU TRAIN A DEUX BRANCHES SUPPLEMENTAIRES
 
Alors qu’aujourd’hui et demain est organisé au Bourget, dans le cadre de la présidence française de l’UE, un conseil informel des ministres des transports européens autour du train de nuit à l’occasion du colloque du 23 février sur « Le renouveau des trains de nuit en Europe », et qu’est publiée la carte mise à jour des projets gouvernementaux des lignes de TDN à l’horizon 2030
 
https://www.ecologie.gouv.fr/train-nuit
 
le Collectif Oui au Train de nuit Cévennes Auvergne qui regroupe :
 
 l’association des usagers SNCF du Gard et des départements limitrophes,
 le Comité de défense des services publics en Hautes Cévennes
 le Comité de défense de la gare de Villefort
 le Collectif des usagers des transports du Haut Allier
 l’association des élus pour la défense de la ligne du train Cévenol
 
veut dire avec force qu’il souhaite pour le Massif central une desserte complète à l’aide d’un train de nuit direct Paris Méditerranée via Clermont-Ferrand puis (tri) ou bi-branche vers (Aurillac) / Béziers / Nîmes. La solution palliative proposée, de desserte de Clermont-Ferrand vers Paris via Brive en sud Corrèze ne peut être que transitoire. Le tri-branche que nous prônons fut préféré par la SNCF jusqu’en 2003.
 
Nous avons déjà exprimé cette position à de nombreuses reprises, elle est aussi celle des 39 communes de la ligne des Cévennes ayant voté une motion en ce sens, elle est aussi celle de la Région Occitanie, elle est aussi celle des députés concernés de Lozère, de Haute-Loire et du Puy-de-Dôme qui tous se sont exprimés en ce sens.