Pendant ce temps le brinquebalant Cévenol brûle à Génolhac ainsi que d’autres Intercités

, par La rédaction

Nous devisions avant-hier 14 août avec un mien ami : Tiens le TER du soir passe avec près de deux heures de retard... Laissés que nous étions dans l’ignorance du pourquoi par la société dite ferroviaire.
 
Et nous apprenons le lendemain par Midi Libre...
 

 
...que la loco du toujours brinquebalant Intercités Cévenol a pris feu en gare de Génolhac ! Voyageurs évacués... changement de trains... et retards de deux heures dimanche et d’une heure encore ce lundi !
 
Alors incapable SNCF ? On le change quand ce matériel roulant ? Quand il y aura un grave accident et de grands brûlés ?
 
D’autant qu’il n’y a pas que lui victime de l’abandon : il y a eu un départ de feu dans le train de nuit Paris Irun, bondé de 300 personnes, en gare de Bersac sur Rivalier (Haute-Vienne). Là encore feu dans la motrice. L’Intercité de nuit a pu reprendre son chemin jusqu’à Irun avec trois heures de retard.
 
Mais c’est sûr la presse nationale parisienne ne s’y intéressera que s’il y a de nombreux morts, au moins des dizaines, en dessous on ne bouge pas, et après Guillaume Pipo fermera la ligne en disant : vous voyez c’est une ligne bien trop accidentogène. On se tord de rire.